Johann Ruggenthaler

Données personnelles
Né:
Décédé:
Profession:
Persécution:
31.03.1938 - 17.05.1938,
17.02.1944 - 06.04.1945
Adhésions
Curriculum Vitae
Né au Tyrol de l'Est, Johann Ruggenthaler visite le gymnase de Salzbourg. Après la Matura, il va aux études de théologie à Vienne. En 1931, il devient membre de l'association étudiante Bajuvaria. Après son sacerdoce en 1934, il agit d'abord comme coopérateur et professeur de religion à Liesing (23e arrondissement), puis comme Kaplan à Pressbaum Bez. St. Pölten, où il entre en conflit avec les nouveaux pouvoirs peu après la connexion.
Ce sera à 31. Mars 1938 arrêté pour lui-même Avant les écoliers sur le leader et les national-socialistes tolérables quand il a dit qu'il n'y avait qu'un seul leader et qu'il n'était pas à Berlin. Il est transféré au tribunal de district de Korneuburg, de là au LG Wien II. La procédure est terminée en mai 1938. Après sa libération, il arrive le 1er septembre 1938 comme Kaplan à St. Brigitta à Vienne-Brigittenau. Il n'est pas autorisé à prendre soin des jeunes. Parce qu'il n'a pas adhéré à l'interdiction, il a été entendu plusieurs fois par la Gestapo.
Johann Ruggenthaler est l'un des co-fondateurs du groupe RésistanceLigue des jeunes Allemands catholiques – Fédération de lutte pour la foi chrétienne et l'art allemand« travaillant au sens de l'«action catholique» [KA]. Il aura 17 ans. Février 1944, avec P. Josef Zeininger OSFS (1916-1995), un autre co-fondateur de la Liga, récemment arrêté par la Gestapo, parce qu'il était censé avoir soutenu les efforts de cette organisation juive-confessionnelle illégale, comme il était sous les auspices commandé par le 20 avril 1944 et d'autres :
Par son comportement, il menaçait l'existence et la sécurité de l'Etat en étant fortement soupçonné d'une activité hautement restrictive pour une organisation de jeunesse fédérale confessionnelle. «
Johann Ruggenthaler est donc accusé de "préparation à la haute trahison". Après une demi-année, il sera sur 5. Septembre 1944 de Pénitencier Elisabeth Promenade (Lisl) Landesgericht Wien I où il travaille ensemble dans une cellule Lois Weinberger et Paul Hörbiger les bombardements jusqu'à la fin de la guerre et aussi les exécutions de son ami Walter Caldonazzi et ses camarades d'études Heinrich Maier Avec. Son "Kerkertagebuch" vient de cette époque. Le 6 avril 1945, il retrouve sa liberté lors du siège de la ville de Vienne par les Russes.
Après la guerre, sa préoccupation s'applique de nouveau aux jeunes étudiants. En 1946, il devient membre de l'association des lycées Vienne. En 1945-1951, il travaille dans la municipalité de Saint Augustin, puis dans la paroisse de Saint-Léopold à Vienne. Il en tant que professeur de pastorale et de religion. Il n'a jamais cessé de contacter sa ville natale Virgen. En 1947, il commence par l'organisation de voyages récréatifs pour les enfants et les jeunes viennois affamés dans sa maison du Tyrol oriental.
Lieux
Lieu d'activité:
Citations
- Archiv der Erzdiözese Wien
Krause, Peter/Reinelt, Herbert/Schmitt, Helmut (2020): Farbe tragen, Farbe bekennen. Katholische Korporierte in Widerstand und Verfolgung. Teil 2. Kuhl, Manfred (ÖVfStG, Wien) S. 288.
